Ces travaux sont issus de la première exposition d'un jeune collectif issu de l'ECAL. Présentées au MUDAC, ces créations vont maintenant faire le tour de l'Europe: une réappropriation d'objets quotidiens qui souvent ont échappé à notre regard.
Jusqu'au 17 juin, le Palais de l'Athénée expose les travaux de 8 étudiants de l'Ecole supérieure des Beaux-Arts de Genève. Le choix de cet intitulé ironique tiré d'une chanson de Jacques Dutronc est lié aux artistes qui participent à l'exposition, dont les travaux interrogent, chacun à leur manière, des notions communément admises d'interdit, de limite et de normalité.